mercoledì 5 settembre 2012

Ban Ki moon, Assemblea Generale ONU del 4 settembre: La soluzione della crisi siriana non verra' dalle armi ma dal dialogo e il rispetto dei diritti universali e della liberta' di tutti i siriani


Ban Ki-moon demande le soutien des États membre pour la résolution de la crise en Syrie.

4 septembre 2012 –
Le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a appelé mardi les États membres à apporter leur soutien au nouveau Représentant spécial conjoint des Nations Unies et de la Ligue des États arabes pour la crise en Syrie, Lakhdar Brahimi, qui vient de prendre ses fonctions « difficiles et essentielles » alors que le conflit en Syrie s'intensifie.Plus de 18.000 personnes, principalement des civils, ont été tués depuis le début de l'insurrection contre le régime syrien il y a presque 18 mois. Jeudi, le HCR a indiqué que 229.000 Syriens avaient fui leur pays et l'ONU estime que 2,5 millions de syriens ont besoin d'une aide humanitaire urgente.« Le conflit devient plus difficile à résoudre plus de temps il dure, et une solution politique devient de plus en plus difficile à trouver et la reconstruction de pays et de l'économie devient plus compliquée », a déclaré M. Ban lors d'une réunion à l'Assemblée générale: « C'est dans ce contexte que M. Brahimi prend ses fonctions. Je le remercie d'avoir accepté cette mission qui est considérable mais pas insurmontable.

 Pour réussir il a besoin de votre soutien pour aider les parties prenantes à comprendre qu'une solution ne viendra pas par les armes, mais par le dialogue et le respect des droits universels et la liberté de tous les syriens »,

 a-t-il ajouté.Au cours des deux dernières décennies, M. Brahimi, a occupé divers postes à responsabilité au sein du système des Nations Unies. Il reprend la responsabilité de l'ancien Secrétaire général de l'ONU Kofi Annan.« La résolution de cette crise n'est pas une tâche facile et elle est devenue de plus en plus difficile au cours des mois », a souligné M. Ban en précisant que la situation humanitaire est « grave et se détériore », aussi bien en Syrie que dans les pays voisins affectés par la crise.Suite à cette réunion, M. Brahimi se rendra au Caire pour des discussions avec le Secrétaire général de la Ligue des États arabes avant de se rendre prochainement dans la capitale syrienne Damas.M. Brahimi a déclaré qu'il a hâte de se rendre au plus vite à Damas ainsi que dans l'ensemble des pays qui sont en position d'aider à lancer un processus politique syrien.

« L'avenir de la Syrie sera bâtie par le peuple syrien et personne d'autre. Le soutien de la communauté est indispensable et urgent. Il ne sera efficace seulement si tout le monde s'accorde à travailler ensemble », a indiqué M. Brahimi.De son côté, le Président de l'Assemblée générale Nassir Abdulaziz Al-Nasser a souligné que l'Assemblée des 193 États membres de l'ONU avait choisie de ne pas rester silencieuse face aux tueries et massacres qui ont lieu en Syrie.

Il a rappelé les résolutions votées par l'Assemblée en février, en juin et en août qui condamnent fermement les violations systématiques des droits de l'homme et qui appellent au lancement d'un processus politique inclusif mené par les syriens eux-mêmes.« Aujourd'hui nous avons besoin d'actions significatives. Aujourd'hui, l'Assemblé générale doit faire tout son possible en accord avec la Carte de l'ONU pour aider le peuple syrien à sortir de consternante crise politique et la terrible perte de vies humaines dans leur nation », a dit M. Al-Nasser.
 http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=28868&Cr=Syrie&Cr1=

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